L’alternance, une voie à explorer
Et si vous recrutiez un alternant ? Cette question, beaucoup de chefs d’exploitation n’osent pas se la poser, de peur d’entrer dans un tunnel de démarches compliquées. Pourtant, avec OCAPIAT, rien de plus simple. Cet organisme vous accompagne à chaque étape, y compris pour le financement. Préparez-vous à rencontrer la future perle rare pour vous épauler au quotidien.
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L’alternance a le vent en poupe. En 2023, près de 53 000 contrats ont été enregistrés par OCAPIAT pour les entreprises du secteur agricole. Et la dynamique, pour 2024, ne semble pas faiblir. Et pour cause, cette formation est une stratégie gagnant/gagnant pour l’entreprise et le jeune. Pour ce dernier, elle apporte une expérience professionnelle concrète et facilite son intégration dans le monde du travail. Pour le patron, elle permet, pour un faible investissement financier, d’être épaulé au quotidien pour, par exemple, développer une nouvelle activité en profitant de compétences nouvelles. Bien évidemment, accueillir un alternant implique de s’en occuper et donc, de lui consacrer du temps. Autre impératif : avoir l’envie de transmettre.
En pratique, OCAPIAT s’occupe de tout
Pour le reste, OCAPIAT s’occupe de tout. « En tant qu’OPCO (Opérateur de compétences) pour la Coopération agricole, l’agriculture, la pêche, l’industrie agroalimentaire et les territoires, nous sommes l’interlocuteur privilégié des entreprises qui souhaitent se lancer dans la voie de l’alternance, explique OCAPIAT. Et ce, quelle que soit leur taille. Car oui, l’alternance, c’est aussi pour un agriculteur, seul sur sa ferme, qui souhaiterait accueillir un jeune. Nous sommes là pour faciliter les démarches et les guider, pas à pas. »
Cap vers l’alternance, le site dédié signé OCAPIAT
En pratique, OCAPIAT dispose, dans chaque région, de conseillers qui font le lien entre les entreprises, les centres de formation et les alternants. OCAPIAT propose également un site dédié ‘Cap vers l’alternance‘ avec le guide de l’alternance, un job board où sont recensées toutes les offres/demandes, et un simulateur pour calculer avec précision les coûts de formation pris en charge et le montant des frais annexes. À savoir qu’une aide gouvernementale de 6000 € est octroyée aux patrons qui accueillent un apprenti : ce dernier touche, en moyenne, 29 % du Smic la première année. L’âge limite d’entrée en apprentissage est fixé à 29 ans. Un ingénieur peut donc, lui aussi, avoir envie de tester l’alternance. « On remarque d’ailleurs que le taux de rupture est faible lorsque l’alternant est dans le supérieur, constate OCAPIAT. Ces derniers ont en général développé une vraie réflexion pour mener à bien un projet. Une réelle opportunité pour l’entreprise qui l’accueillera. »
L’alternance, un véritable vivier pour recruter des talents
Pour attirer de futurs candidats à l’alternance, OCAPIAT est également présent sur les réseaux sociaux Tik-Tok, Instagram et Facebook. « L’enjeu est aussi de faire la chasse aux idées reçues. Non, l’alternance ce n’est pas que pour les garçons. Et non, ce n’est pas que pour des jeunes issus du monde agricole. Beaucoup de métiers de l’agriculture et de l’agroalimentaire restent sous tension : l’alternance s’affiche, dans ce contexte, comme un formidable vivier pour recruter ses futurs talents. »
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